Un article très complet et très intéressant proposé par le réseau Biloba, dont voici un résumé :
L’énurésie ou le fait d’avoir des petites fuites urinaires touche plus de monde qu’on le pense. Les enfants, mais également les personnes âgées et, dans une moindre mesure, les adultes. Le shiatsu offre la possibilité de traiter cela de manière douce. Explications.
Résumé de l'article :
Alors que la médecine occidentale cherche dans l'énurésie une cause héréditaire (génétique), hormonale ou psychologique, le shiatsu et la médecine traditionnelle chinoise (MTC) voient les choses de manière plus pragmatique. L’urine est contrôlée par la vessie et les reins. C’est donc là qu’il faut chercher le déséquilibre, qu’il soit physique, hormonal ou psychologique.
Le thérapeute distingue deux grandes catégories d’énurétique. La première concerne des personnes connaissant un vide énergétique qui affaiblit les reins ou la vessie, soit directement, soit indirectement, via une faiblesse aux poumons (toux chronique) ou à la rate. Sont concernés par cette catégorie les enfants faibles et mal nourris, les personnes âgées, les malades.
Le second groupe ne concerne que les enfants. Les enfants victimes d’énurésie sont généralement nerveux et avec un fond inquiet. Le thérapeute shiatsu va s’occuper alors de calmer l’esprit et le foie, puis de chasser la chaleur qui peut s’installer au niveau de la vessie.
"Le gros avantage du shiatsu comme approche de l’énurésie c’est qu’il peut être adapté aux enfants sur des séances courtes de 30 minutes, à répéter régulièrement. D’autre part, les enfants prennent souvent le massage comme un jeu ou une expérience amusante et non comme une contrainte, et ne peuvent imaginer que l’on traite le problème qui les traumatise par ailleurs. C’est donc une approche douce et globale avec des résultats intéressants, notamment en complément d’un traitement médical."
Pour lire l'article dans son intégralité, consulter en ligne à l'adresse : http://www.reseau-biloba.com/traiter-enuresie-enfant-shiatsu/
Source : réseau Biloba, publié le 19 mars 2013
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